et ici, un p'tit géranium.

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et ici, un p'tit géranium. - Jeu 7 Déc - 1:57
Balou
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Balou
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(Gyp) Maddock Ó Dálaigh

The red moon hangs low, and beasts rule the streets
lycans
ad litem

nsfw (t'es prévenu)
monsieur fassbender
PERSONNAGE  ‹ inventé. DERNIER MOT  ‹ écrire ici. CRÉDITS ‹tik tok (av.) + ...


NOM ‹ identité malade aux roupies clandestines. Le dynaste ne se nomme plus, répudiant ainsi la barbaque frelatée de son honneur qui git, grossière, dans la gamelle des dieux. On s’en cure les dents, là-haut, du prestige moribond des Ó Dálaigh.  PRÉNOM ‹ il bat le trimard et charroie sa panoplie de mascarades sans jamais ressusciter le Maddock qu’abominent les spectres. Les nations patrouillées lui connaissent autant de blases qu’il n’a de souillures emplafonnées sous griffes ; mais Gyp demeure l’emblème anthropoïde qu’il crache le plus souvent aux faciès inquisitifs.
ÂGE ‹ ça prend des airs de quadra usé et tanné par les soleils apatrides. DATE, LIEU DE NAISSANCE ‹ l’hiver de l’an 1881, sur l’île d’Inis Meáin, en Irlande.  NATIONALITÉ ‹ cocardier viscéral, c’est en irlandais que le cœur de l’homme rugit. Davantage territoriale et prosaïque, la bête, elle, foule les terres étrangères avec une souplesse de conquérant qui dérange et déplait.   RACE ‹ lycan pur, salaud avéré. ÂGE RÉEL ‹ cent trente-cinq lunes. ALLÉGEANCE ‹ seigneur orgueilleux qui se refuse au décorum des lois animales, l’alpha fâche ses congénères avec un naturel mordant chaque fois qu’il insulte les meutes en ne leur présentant aucun de ses respects. L’échine ne se ploie d’ailleurs devant aucune autre instance, attendu qu’il a trop longtemps régné pour goûter à la docilité primaire, et qu’il possède la plus solide des cuirasses ; ne plus rien avoir à perdre, attendre la mort les bras ouverts. CAPACITÉ ‹ n/a. STATUT CIVIL ‹ veuf et fidèle à sa damnée dont il a rôti les restes. STATUT FINANCIER ‹ délibérément impécunieux. Farce grinçante si l'on connaissait un centième des fortunes qu'il a naguère brassées dans le cuvier des vanités. STATUT FAMILIAL ‹ patriarche déchu assis sur l’ossuaire de son clan. ORIENTATION ‹ s’est enfoncé entre toutes sortes de cuisses que Mère Nature lui a livrées, révérant avec barbarie ses plantureuses enfants. L’époux porte néanmoins, et depuis plusieurs années, le deuil de sa chienne adorée, bousculant sans égards ou intérêt la gent féminine prélassée çà et là. Reste que le loup est vorace, et s’en va, lorsque l’astre sélénite est plein, sauter la femelle. OCCUPATION ‹ nargue la Camarde aux pieds des sépulcres en chiffonnant les cadavres exquis. À priori fossoyeur, le celte maraude à ses clients flegmatiques là des os, là des monceaux, pour nourrir son culte d’oboles profanes. Son négoce avec Diancecht, démiurge de la résurrection, est pour le moins trouble, et conduit les âmes du cimetière à fuir la roulotte écaillée qu’on laisse à l’employé habiter. CARACTÈRE ‹ (ultraviolent), (superstitieux), (païen), (bestial), (introversif), (taiseux), (mimétique), (douloureux), (ataraxique), (seigneurial), (dichotomique). GROUPE  ‹ ad litem, et vogue la galère.

◈ 1881 ‹ naissance en Irlande de l’ouest, dans la meute Ceochán du peuple des Taistealaí.

◈ 1896 (15 ans) ‹ destitution de son géniteur et Ulfric par un frère ainé qui combat à mort le chef, et s'arroge la souveraineté sur les Ceochán. La nuit même, le puîné est répudié par la Cailleach (Vargamor) qui le chasse jusqu’aux confins du territoire pour le protéger des visions qu’elle a eues. L’adolescent finit par obéir à la sacrosainte figure chamanique et quitte les siens sans un adieu, ses oripeaux pour seuls bagages.

◈ 1897 (16 ans) ‹ après des mois à caboter sur le terroir oghamique et à se sustenter de proies sauvages, l’adolescent trouve refuge à Dublin où il amoncelle des corvées sordides pour quelques misérables piécettes. Il a le mal du pays coincé dans ses viscères, et une hargne bâtarde naît peu à peu dans le bleu de ses yeux qui pleurent l’exil. À trop côtoyer la plèbe ouvrière de la basse-ville, il sympathise avec leurs fureurs qui lui deviennent familières. C’est à la louche qu’il finit par le bouffer, ce patriotisme prolétarien, jusqu’à la lie. Il se prétend bientôt nationaliste et brandit le poing contre la Couronne en aboyant sa rage hors-la-loi.

◈ 1901 (20 ans) ‹ intègre l’Irish Republican Brotherhood.

◈ 1903 (22 ans) ‹ un autre de ses frères, Bresal, commandite l'assassinat de l’Ulfric des Ceochán et fait massacrer tous les mâles de son sang pour asseoir l'omnipotence pérenne à laquelle il aspire ; Maddock demeure quant à lui insaisissable, a fortiori qu'il est protégé par ses compagnons de l'IRB. Une haine opiniâtre naît cependant à l'encontre de l'usurpateur et de ses sympathisants, radicalisée au fil des années par les quelques tentatives de meurtre dont il devient la proie. L'instinct de survie se mue en prédation.

◈ 1913 (32 ans) ‹ siégeant dorénavant au Conseil Suprême de l’IRB, il devient en parallèle l’un des officiers de l’Irish Volunteers Force.

◈ 1914 (33 ans) ‹ » liaison passionnée avec Constance Markievicz, les amants vivent leur relation à travers la fièvre exaltée de leurs opinions politiques. Elle deviendra son second, mais l’Histoire ne retiendra que le nom de la comtesse ; le lycan sait devoir faire profil bas dans les chroniques de la mémoire collective.

◈ 1916 (35 ans) ‹ est l’un des instigateurs et acteurs de l’insurrection de Pâques. Il évite de peu les barreaux britanniques, au contraire de ses confrères et de Constance. Sa tête est mise à prix quelques jours plus tard, la police de sa Majesté tente de le traquer jusqu’aux Etats-Unis, dans le port de Boston. Peine perdue. L'animal est rôdé au jeu de l'exode.

◈ 1918 (37 ans) ‹ ses connections irlandaises lui octroient la possibilité de mettre la main sur un trafic d'armes prolifique. La fin de la guerre fait décharger aux troupes alliées et ennemies leur foutre d'acier, purée dont il nourrit le gosier vorace des gangs fleurissant partout aux USA à l'aube de la Prohibition. Restructure ses racines, réécrit ses origines, et s’attife du prénom très prosaïque de Joseph. Ses accointances avec la mafia italienne, notamment, mordent les guiboles de son patronyme plâtré et le mutilent pour ne laisser qu'une barbaque de syllabe : Gyp (Giuseppe).

◈ 1920 (39 ans) ‹ au Canada, confronte une meute amérindienne qui gêne délibérément le transport de sa marchandise acheminée jusqu’aux frontières. Le conflit se règle sans heurts, l’Ulfric est un homme véreux que le baron du crime paie grassement ; les membres du clan consentent à protéger le trafic de Ó Dálaigh sur le routes du nord. En gage de bonne foi, le gaélique contraint le chef à lui livrer sa fille unique, Nokomis — une beauté de trophée qui satisfait la convoitise de l'alpha. Il ne réalise que bien plus tard avoir capturé un démon de femme.

◈ 20ies ‹ une fois sur le sol étasunien, Nokomis incendie l'un de ses entrepôts et s'enfuit non pas vers les terres canadiennes, mais chez la concurrence, à qui elle loue ses services de porte-flingue insoupçonnable. Plusieurs années de vengeance et de rancune partagées s'ensuivent. Il faut attendre l'hiver 1928 pour que les deux lycans ne s'affrontent enfin à Cincinnati dans la tourbe de leur colère usée. Ils ne se quitteront plus. Quelques mois plus tard, Gyp offre à sa dulcinée la tête du géniteur abhorré — il patronnera au titre d'Ulfric l'un des plus influençables frères de Nokomis, rôle fantoche permettant à l'Éminence Grise qu'est son épouse de contrôler pour lui le point stratégique sur lequel est assise la meute.

◈ 1935 (54 ans) ‹ les affaires prospèrent, l’or chenu coule à flots et on le couronne roi d’airain au pays des balles. Ce qui ne manque pas de faire bourgeonner la jalousie chez ses ennemis et partenaires, bien que ce soit la hargne du FBI qui lui nuise le plus, épaulé par une police britannique qui n'en démord pas d'attraper l'un des derniers gros bonnets de l'IRB. Déchéance du scélérat qui voit peu à peu le pouvoir quitter ses paumes et les menaces s'amonceler. Les fausses couches successives de sa femme l'affaiblissent. Ils décident conjointement de tirer leur révérence et de quitter les planches de cette vie-ci.

◈ 1937 (56 ans) ‹ au Moyen-Orient, le couple plonge ses crocs dans le marché noir d'antiquités et reliques. Leur entreprise va bon train, ses celliers sont repus de trésors que les artisans de la seconde guerre veulent déterrer. Qu'importe de qui vient la demande, l'offre se plie pourvu qu'on y mette le prix. Parmi leurs clients, la Wehrmacht.

◈ 1941 (60 ans) ‹ a vent, par le biais de ses acheteurs teutoniques, que des camps sont établis en Pologne et qu'on y fauche, entre autres, son peuple.

◈ 1942 (61 ans) ‹ retour en Irlande de l'ouest auprès des Ceochán. Son imprédictible venue est un coup de massue pour l'Ulfric, son frère Bresal. Malgré la longue argutie de Maddock mettant en garde la meute, l'usurpateur refuse de convoquer le Cercle des Taistealaí pour venir en aide aux autres clans. Une contestation publique qui légitime comme prévu la mise au défi. Au terme d'un combat misérablement court, Maddock tue Bresal et s'empare de la prépotence tribale. Il sollicite dès l'aube la présence du Cercle sur ses terres et repart quelques semaines plus tard en direction de la Pologne, escorté par une horde de loups Taistealaí. Nokimis reste dans la meute, soutenue par des figures respectées du Cercle, afin d'incarner la parole et l'autorité de son époux.

◈ 1942-1945 ‹ sabotages des voies ferrées, abordages de convois allemands et libérations de prisonniers, des actes de bravoure corrodés par l'ambition de l'Ó Dálaigh qui entend s'arroger l'obédience des clans lui étant redevables. Vise le siège du Sabhran, sire-loup présidant le Conseil des Taistealaí. Il l'obtiendra à la fin des belligérances, dès son retour sur l'île.

◈ 1945-2006 ‹ long règne de la bête, l’homme est déshumanisé par le théisme barbare de son peuple. La substance païenne l’habite et le possède comme tous les Ulfrics l’ayant précédé. Impitoyable, ferme, il ne pardonne aucun balbutiement de félonie et l’ichor pestilentiel courant dans ses veinules lui remémore combien il est fondamental d’entretenir la fleur du mal qu’est la paranoïa. Derrière la gloriole dont il orne son masque, un rictus amer lui contorsionne les traits ; ses fils deviennent l’un après l’autre des emblèmes de rivalité qu’il lorgne avec suspicion. Ses vieux démons le font renouer, dans les années 70, avec l’IRA, dont il exploite l’atrabile pour supprimer des meutes antagoniques aux Taistealaí sur les terres anglaises. Il envoie ses ainés dans les pattes de l’organisation pour les exclure du pouvoir. Et ne les reverra jamais, occis çà et là par l’autorité de sa Majesté ou les bombes qu’ils font éclater. Vorace insatiable enivré par ses victoires, le patriarche poursuit, contre l'avis des aïeuls du Conseil, sa conquête territoriale jusqu'en Irlande du nord où les dernières meutes étrangères à son peuple (et joug) demeurent. Face à l'hostilité sans équivoque des Ceochán oeuvrant depuis des décennies dans le pays, les adversaires ont fédéré leur force à deux puissantes lignées de chasseurs. Le Sabhran l'ignore, et ses conseillers veillent à ce qu'il reste aveugle, espérant la chute d'un titan qu'ils n'osent pas affronter eux-mêmes.

◈ janvier 2007 (125 ans) ‹ défaite cuisante des Ceochán près d'Antrim, Maddock est le seul survivant. C'est un charnier qu'il découvre en revenant sur ses terres ; le Conseil l'a trahi en tournant le dos aux cris et suppliques de sa meute, diminuée par l'absence des mâles et attaquée de front par la maestria chasseresse des ennemis. Le deuil et l'éreintement moral ligotent tout désir de vindicte. Le Sabhran est déchu, l'Ulfric dépossédé, et le paterfamilias abattu.

◈ février 2007 ‹ tentative de suicide au pied des bûchers funéraires. Le canon est dans la gueule aux tourments résolus, s’apprête à noircir les chairs, mais une vision térébrante sclérose la phalange qui chatouille la gâchette. Un pacte séculaire vient de s’éveiller et somme le loup d’y obéir. L’homme lutte, tire, se rate. L’instinct animal vient de prendre le dessus comme il ne l’avait encore jamais pris auparavant. Dominé par une volition inhérente dont il ne parvient pas à percer les arcanes, le lycan répond à l’Appel.

◈ 2007-2017 ‹ odyssée cabocharde perpétrée à travers mers et nations. Le pérégrin dévore les nuits bohèmes sans jamais freiner l’errance de ses pas. Son prestige, vétuste, n’est que brisures éparses, et ne subsiste bientôt plus chez lui qu’une énergie machinale hantant le sillage de la chimère qu’il traque.

◈ fin 2017 (136 ans) ‹ la cité de Rome lui sourit, denture sanguinolente vers laquelle se rue le monstre euphorique.
RIGOR MORTIS
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et ici, un p'tit géranium. - Jeu 7 Déc - 2:03
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Balou
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bad moon on the rise

From the spiritual poison we expel at night
(I) Gitan, et de la pire espèce. Le peuple des Taistealaí, source aux effluences mystiques de laquelle les Travellers irlandais puisent leurs origines, fédère les hurleurs que la lune enfanta. Bohèmes lorsque les civilisations hoquetèrent leurs premiers balbutiements, bohèmes lorsqu’elles crûrent, ces lycanthropes ont traversé l’Histoire harnachés de leurs hardes et us barbares sans faiblir ni s’éteindre face à la procession des puissances. Depuis neuf siècles seulement, les Taistealaí se sont sédentarisés pour mettre fin aux guerres intestines menées par leurs clans. Si une majorité d’entre eux s’en est allée conquérir les terres de l’est, les plus vieilles lignées se sont quant à elles partagées les landes celtiques du nord, berceau de leur genèse. (II) Les rituels, une marotte. Maints sacrifices sont requis par les démiurges, une soif divine que le sang abreuve et que les combats satisfait. Sur la dextre de feu l’Ó Dálaigh, un épais stigmate cristallise notamment ces pratiques, meurtrissure coutumière des chairs survenue lors de la passation de pouvoir, lorsque la dague d'Orchacht transperce et la main du vainqueur, et le cœur du vaincu. (III) Ces armes, dont il conquit un jour la baronnie, il les méprise dorénavant. Quand bien même ses phalanges pourraient-elles démonter et remonter n’importe laquelle des pétoires, l’odeur de poudre et l'éclat des déflagrations roidissent ses nerfs à la moindre occasion. (IV) Doux technophobe, demeure dans sa parenthèse temporelle du XIXème siècle. N’entend rien aux ordinateurs, téléphones portables et autre ingénierie laissant perplexe sa malhabileté. En va de même pour les transports. Pérégrin perpétuel, préfère encore la marche au mouvement hystérique des moteurs de ce siècle. (V) Appétit d’ogre, lubies cannibales. Se pourlèche les babines devant l’engeance simienne qui garnit les villes et faisait montre, jusqu’à présent, d’une gloutonnerie endiablée perpétrée au fil de ses voyages. La frénésie est cependant muselée depuis qu’il erre dans la ventraille de Rome, suffisamment, du moins, pour que ses bâfrées ne conduisent pas les autorités jusqu’à ses miséreux pénates. (VI) De fait, Misanthrope. Ne jette aux humains que ses prunelles prédatrices, savoure leur malheur et, de leur hardiesse, s’en torche le séant. En va de même pour les autres, ceux qui, sur les planches du Secret, parodient comme lui la réalité. (VII) La bête, toutefois, reste sensible à ses congénères, cherche, au-delà de la domination, le contact féral et brut. (VIII) Regrette ses horizons marins, leurs écumes furibardes et leurs embruns fatals. Donnerait cher pour se perdre une dernière fois en mer. (IX) Parle couramment le gaélique et le shelta, ceci sans compter sur l'alphabet runique des Taistealaí. Accent prononcé lorsqu’il discoure en anglais, par ce muscle lingual qui roule et qui n’en finit pas de chanter ; élocution qui accommode son italien et lave presqu’entièrement ses inflexions étrangères. (X) Reste qu’il en est un, d’étranger, un sans-papiers qui rase les murs, embrasse les ombres, et s’échine à ne provoquer aucun remous. Nulle probité là-dedans. Simple sagacité, au demeurant triviale, lui laissant la liberté de traquer sa Chimère sans que de piètres obstacles administratifs ne se dressent sur son chemin. (XI) S’introduit dans les petites salles obscures des cinémas de quartier, aberration pesante installée sur les fauteuils que la vermine graille, monstre tapi parmi les rares hères fréquentant encore les lieux. Ça dévore du film coréen, tout particulièrement. (XII) L’alcool flue mais ne l’immerge jamais, à croire que la légende dit vrai ; si les irlandais naissent ivres, les Taistealaí crèvent immunisés. (XIII) Torve est le profane, bigle d’un air curieux les lieux de culte n’étant pas siens, s’amuse des saccages, piétine les biens matériels du monothéisme raillé. Maraude de temps en temps l’argent des quêtes en feignant la piété sur les bancs des églises. (XIV) Fume des cigarillos qui lui embaument la dégaine, caprice d’antan découvert dans le Cuba des années 20. (XV) Depuis sa roulotte, et lorsque la sorgue couve la nécropole, un harmonica fait tintinnabuler sa mélopée dans l'air romain. L'objet est aussi vieux que son maître mais la rouille ne gâte en rien ses notes élégiaques.
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et ici, un p'tit géranium. - Ven 8 Déc - 15:12
Carn
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